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Philippe Mathy dans Le journal des poètes 4 
Auteur prolifique d’articles critiques, de recueils poétiques, Philippe Leuckx nous offre avec Ce 
long sillage du cœur un très beau livre de poèmes qui comptera à coup sûr dans sa bibliographie.
Françoise Lefèvre souligne avec justesse dans sa préface la petite musique schubertienne
imprégnée de nostalgie. Elle écrit : Vos mots nous ramènent à l’enfance, à la mère, au père, si humbles…
Comme une prière au bord des jardins, des étables, loin des vaines rumeurs des villes. Ce Pèlerin de soi pratique
la Langue douce de l’errance avec des mots choisis Au plus juste, pour reprendre trois des sous-titres
du recueil. Mon cœur est plein de fenêtres/ Et d’étoiles vers les confins/ Parfois du port où je rêve/ Se lève une
autre lune/ C’est toujours la nuit/ Qu’une fouine me renverse/ Dans son nid de paroles. On voyage ainsi de
confidences en petits tableaux où les pépites sont nombreuses, traversant la tristesse, l’enfance au
loin perdue, mais avec la chaleur d’un cœur qui bat, capable d’aimer et de s’émouvoir encore. Toi
l’ami, tu m’épaules/ Vers le vent et si la mer tremble au loin/Tu reposes ma voix/ Comme un arbre de patience/
Sème l’ombre/ Pour rien/ Juste pour équilibrer la lumière/ Du cœur. Sous la belle couverture bleue signée
Renaud Allirand, voici un livre des Éditions « La tête à l’envers » qui remet le cœur à l’endroit
jusqu’à ces mots qui clôturent très joliment le livre : L’enfant blessé d’ombre/ Se recoud au soleil. 

 

Philippe Mathy dans Le journal des poètes 4 
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Françoise Lefèvre souligne avec justesse dans sa préface la petite musique schubertienne
imprégnée de nostalgie. Elle écrit : Vos mots nous ramènent à l’enfance, à la mère, au père, si humbles…
Comme une prière au bord des jardins, des étables, loin des vaines rumeurs des villes. Ce Pèlerin de soi pratique
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loin perdue, mais avec la chaleur d’un cœur qui bat, capable d’aimer et de s’émouvoir encore. Toi
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Sème l’ombre/ Pour rien/ Juste pour équilibrer la lumière/ Du cœur. Sous la belle couverture bleue signée
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jusqu’à ces mots qui clôturent très joliment le livre : L’enfant blessé d’ombre/ Se recoud au soleil. 

 

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Sème l’ombre/ Pour rien/ Juste pour équilibrer la lumière/ Du cœur. Sous la belle couverture bleue signée
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loin perdue, mais avec la chaleur d’un cœur qui bat, capable d’aimer et de s’émouvoir encore. Toi
l’ami, tu m’épaules/ Vers le vent et si la mer tremble au loin/Tu reposes ma voix/ Comme un arbre de patience/
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